Questions/Réponses...

Pourquoi pré-commande et don?
Dans cette ère de l'édition de nouvelle génération, déjà bien entamée, la pré-commande est l'équivalent d'un à-valoir; indispensable, car l'édition d'un ouvrage à portée biographique demande un énorme travail de recherche et de validations, sans compter les versions internationales, enrichies (une illustration d'une situation surréaliste avec Steve Jobs, par exemple, dont personne n'a pensé à prendre une photo).
La pré-commande est un avantage pour l'auteur, pour les éventuels éditeurs, pour les libraires, c'est le futur lecteur qui décide (il peut même contribuer pendant la phase de préparation)! Ainsi pas d'à-valoir qui pèse sur les comptes.

Quant au don, il était courant dans l'édition par le passé (il l'est toujours dans l'édition d'art). Isabelle d'Este, par exemple, à qui l'on doit une partie du financement du livre moderne, avait ainsi l'assurance d'obtenir la publication de textes recherchés. Il se pratique aussi désormais avec certaines marques et avec de grands bibliophiles. Le problème quelquefois est l'adéquation de l'entreprise au sujet ou à l'auteur. Il est évité ici.
Le don permettra d'accélérer les différentes versions, enrichir les contenus, maintenir le dispositif Internet, organiser des événements de lancement, des signatures en librairie.

Merci d'avance!

Pourquoi lancer l'ouvrage en cours d'écriture?
Une méthode temps réel doit s'appliquer désormais dans la phase d'écriture d'un tel ouvrage.
Les réseaux permettent de revenir au temps d'avant et du début du livre imprimé, où rien ne sortait avant que des discussions n'aient lieu pour affiner tous les points abordés. Pline l'Ancien regrettait déjà que des livres soit diffusés sans avoir été assez discutés.
Cela s'est vérifié ces premières 24 heures. Des contributions provenant des réseaux, par attraction, viennent déjà modifier ma vision de certains traits du caractère de Steve Jobs. Je vais remonter aux sources, je publierais ce que j'en déduis, des réactions pourront infirmer ou confirmer ce que je pressens.

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